Compagnie Salghos

Palace Club

Création
Mise en scène : collective (2000 - 2003)

Tous les délires sont permis au « Palace Club » {…} Les numéros se succèdent à la pelle, avec une énergie folle, nous laissant un peu ahuris. L’univers est délirant – à l’image des personnages ici campés avec vigueur – et le résultat décalé. Les complices cisèlent le spectacle dans la dérision. Du coup, c’est drôle, rock’n roll, amer, surprenant, … assez unique en son genre.

La Libre Belgique (30 janvier 2003)


Panache au cabaret !
{…} Ils ont du cœur au ventre, de l’imagination au poing et un talent fou pour la gouaille, la nostalgie, la parodie. Leur show retraverse avec panache l’art du cabaret de leurs grands-parents : ils chantent, dansent et battent tambour.{…} Un vrai spectacle de fête où l’humour et l’intelligence chatouillent l’amertume des artistes en panne de reconnaissance.

Le Vif/L’Express (19 décembre 2003)


Le cabaret revisité par la Compagnie Salghos
 Avis aux nostalgiques de l’âge d’or des soirées cabaret, conviviales et divertissantes à souhait. {…} Aucun effet grandiose, aucun tour de magie, seul des strasses de supermarché pour effet de luxe ! C’est là que l’humour, la tendresse et l’ironie plus ou moins grinçante viennent combler l’économie volontaire de moyens, pour une soirée plus que réussie qui laisse un goût de barbe à papa dans la bouche.

La Libre Belgique (26 octobre 2002)


Des acteurs vivants impossibles à zapper
{…} Sans que l’attention ne se disperse, une foule de numéros et de savoir-faire se succèdent, non pas surfilés lâchement comme un catalogue, mais cousus au petit point serré, en contraste ou en fondu enchainé, prenant soin de ne pas laisser le champignon enfoncé sur une seule émotion.{…}

Le Soir (18 octobre 2002)


La balade de Betty Blue

Création
Mise en scène : Collective (2005)

Betty Blues à la recherche du bonheur perdu
{…} Même si de prime abord l’histoire semble banale, le concept et la mise en scène de cette balade vont bien au-delà du déjà vu. {…} Et quand les mots ne peuvent plus communiquer, la place est laissée à la musique ou bien à la vidéo qui en quelques dessins animés montre ce qui est devenu impossible à raconter. Grâce à ces éléments, les spectateurs envoutés passent eux aussi par le rire, la mélancolie, la tristesse et la douleur.

Liège 04 (16 mars 2005)


Le bonheur d’une femme, sans les stéréotypes
{…} Dans cette balade intime, Sandrine Bergot – Betty observe le quotidien avec un point de vue décalé et plein d’humour. La banalité en est transformée : elle devient poétique !

Le généraliste (mars 2005)


Betty en rouge a le blues
{…} Sans doute s’agirait-il là d’un gentil conte moderne, sans plus, si Sandrine Bergot, à la fois très expressive et naturelle, ne donnait une telle chaleur, une telle humanité à son personnage. {…}

La Libre Belgique (15 mars 2005)